© Katie Silvester

King Hannah, Joe Gideon

Indie rock
dimanche 01 déc. 2024
18h00
Ouverture des portes : 17h00
La Vapeur — Club
42 av. de Stalingrad / Dijon
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Tarifs
Préventes : 12€
Carte Vapeur : 9€
Carte culture : 5.50€
Sur place : 15€ / 12€

Proposé par La Vapeur

King Hannah UK

En 2022, le duo liverpuldien King Hannah avait séduit les amateurs de poésie sombre et électrique avec “I’m Not Sorry, I Was Just Being Me”, un superbe premier album enivrant. Hannah Merrick et Craig Whittle signent une nouvelle masterclass en 2024 avec “Big Swimmer”, second opus grunge/americana en partie inspiré par les aventures de leur tournée US, entre grands espaces et théâtre de la vie quotidienne.

 

Avec Big Swimmer, King Hannah sort de son premier acte avec une nouvelle compréhension de son univers sonore, de ses forces, de sa gratitude et de sa vision de l’avenir de sa musique. Cette compréhension est sans doute à l’origine de la profonde confiance que l’on entend dans les nouvelles chansons du duo – la voix de Merrick qui s’élève, la guitare de Whittle qui s’enflamme – et de cet équilibre trouvé en traversant l’océan Atlantique, ainsi que dans les salles rock se situant sur ses deux rives. L’album laisse les poils se dresser sur votre nuque, entre les images parfois piquantes et souvent réconfortantes de sa narration. Il est très probable qu’en l’écoutant, vous vous surprendrez à rêver d’un lac en été et que vous aurez envie de vous y jeter.

Joe Gideon UK

En mars 2020, l’auteur-compositeur-interprète Joe Gideon était en pleine tournée pour la promotion de l’album « Armagideon », lorsque la pandémie a stoppé net sa série de dates.
Entre-temps, Joe a écrit et enregistré son nouvel album, sorti sur Labelman le 3 mai.
Cet album, comme son prédécesseur « Armagideon », est produit par Jim Sclavunos. Le style d’écriture unique de Gideon et ses réflexions poétiques surréalistes sont très présents ; et bien que Jim et lui soient les seuls instrumentistes, l’album offre une ménagerie de sons comprenant des synthés en boucle, des guitares saturées, des basses volumineuses et quantités de bongos endiablés. Attendez-vous à entendre Joe hurler et hurler à la lune, crier comme un oiseau, et appeler les auditeurs à rejoindre sa congrégation « disco church »… et pour tous les entomologistes, Joe promet au moins deux chansons sur les insectes.